L’entreprise typique est régie par des directeurs embauchés par un conseil d’administration, sous le contrôle des actionnaires. Mais les actionnaires manquent souvent de contrôle réel sur la gestion. Et d’autres parties prenantes, comme les travailleurs et les communautés locales, n’ont aucun pouvoir du tout, ou très peu, même si leurs vies sont fortement affectées par les décisions prises par les sociétés. Il existe des coopératives de travail dans lesquels les travailleurs ont le plein contrôle, et des petites entreprises et des magasins dans lesquels le pouvoir est officieusement partagée entre les propriétaires et les employés (très souvent des membres de la famille).
Dans certains pays, les travailleurs sont représentés au sein du conseil d’administration de sociétés. Le rapport IPSP fait valoir que le pouvoir doit être partagé entre les principaux acteurs de l’entreprise, en particulier les travailleurs.
Êtes-vous d’accord ou pas d’accord?
L’entreprise typique est régie par des directeurs embauchés par un conseil d’administration, sous le contrôle des actionnaires. Mais les actionnaires manquent souvent de contrôle réel sur la gestion. Et d’autres parties prenantes, comme les travailleurs et les communautés locales, n’ont aucun pouvoir du tout, ou très peu, même si leurs vies sont fortement affectées par les décisions prises par les sociétés. Il existe des coopératives de travail dans lesquels les travailleurs ont le plein contrôle, et des petites entreprises et des magasins dans lesquels le pouvoir est officieusement partagée entre les propriétaires et les employés (très souvent des membres de la famille).
Dans certains pays, les travailleurs sont représentés au sein du conseil d’administration de sociétés. Le rapport IPSP fait valoir que le pouvoir doit être partagé entre les principaux acteurs de l’entreprise, en particulier les travailleurs.
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